#ASCII :
American Standard Code for Information Interchange. L'ASCII est une norme informatique de codage de caractères apparue dans les années 1960. C’est la norme de codage de caractères la plus influente à ce jour.
→ Définition tirée de Wikipédia
#Bi-scripte : désigne un ensemble composé de deux systèmes d’écriture différents.
#Code source : le code source d’un programme informatique est un texte contenant des instructions rédigées dans un ou plusieurs langages de programmation. La plupart du temps, le code source est compilé en code binaire pour pouvoir être exécuté (lu) par la machine. Une fois compilé, le code binaire est impossible à modifier sans avoir accès au code source.
→ Définition tirée de Back Office
#CSS : les feuilles de style en cascade (CSS,
Cascading style sheets) désignent un langage informatique servant à décrire la présentation des documents web (généralement des pages web).
→ Définition tirée de Back Office
#Design adaptatif : le design adaptatif qualifie la conception d’interfaces pensées pour s’ajuster visuellement à différents terminaux : saisie tactile ou à la souris, ratios, tailles et résolutions d’écran variables, du
smartphone à l’ordinateur de bureau en passant par la tablette.
→ Définition tirée de Back Office
#Design (graphique) : le design graphique est un ensemble de compétences à la fois intellectuelles (conception) et plastiques (mises en forme des contenus) dont se dotent les sociétés pour contribuer à rendre au monde une lisibilité que l’industrialisation, la mécanisation et l’urbanisation avaient opacifié.
Définition tirée du Vertige du Funambule (p.42)
#Designer (graphique) : la place symbolique du designer qui est celle du traducteur ou de l’interprète le contraignant à trouver un équilibre entre sa subjectivité, celle du commanditaire et du lecteur et ce qui définit le contexte économique, culturel, social. Et cet équilibre suppose de se méfier de l’assimilation systématique de la subjectivité au style qui est une forme de domination d'un point de vue sur un autre, d’un système de valeurs sur un autre.
Définition tirée du Vertige du Funambule (p.43)
#Écriture : représentation de la parole et de la pensée par des signes graphiques fixés par convention. Système de signes graphiques, permettant cette représentation.
→ Définition tirée de L’Aventure des écritures
#@font-face : @font-face est une règle du langage CSS permettant d’intégrer des polices de caractères personnalisées dans des pages web. Définie par le W3C dès 1998, il faut attendre le début des années 2010 pour que ces dernières soient implantées.
→ Définition tirée de Back Office
#Fonte variable (police variable) : les polices de caractères variables, développées en 2016 par quatre « géants » du web (Adobe, Apple, Google et Microsoft), regroupent un ensemble de technologies permettant de réaliser des interpolations de formes entre différents masters (références) de manière continue et en suivant un ou plusieurs axes préétablis (graisse, proportions, contraste, inclinaison). Un même fichier OpenType 1.8 (police variable) combine alors les différentes coupes d’une famille et optimise ainsi la bande passante nécessaire au chargement d’une webfont.
→ Définition tirée de Back Office
#Glyphe : en informatique, cela désigne un symbole graphique abstrait concrétisé par un caractère.
→ Définition tirée de L’Aventure des écritures
#Hiéroglyphe : du grec
hierogluphikos « gravure sacrée ». Signe gravé, idéogramme de l’écriture des anciens Égyptiens.
→ Définition tirée de L’Aventure des écritures
#Idéogramme : signe symbolisant une idée, un concept.
→ Définition tirée de L’Aventure des écritures
#Impérialisme linguistique :
linguistic imperialism. Désigne la fausse histoire d'universalisme linguistique et d’écriture.
Définition interprétée de The Chinese Typewriter
#Informatique : concentration des mots « information » et « automatique », pour désigner la science du traitement automatique des données. La présence de la notion d’information et non de donnée, souligne la présence humaine dans la coopération avec l’automate : une donnée ne peut devenir une information que si un être humain l’interprète.
→ Définition tirée de Back Office
#Interstice : désigne une fissure créée par le passage de l’écriture manuscrite à l’écriture sur machine, causée par un nouveau seuil de complexité.
Définition interprétée du Vertige du Funambule
#Kashida : la
kashida est un type de justification dans certaines écritures cursives liée à l’alphabet arabe.
→ Définition tirée de Wikipédia
#Lettre : chacun des signes graphiques dont l’ensemble constitue un alphabet et qui, seuls ou en combinaison avec d’autres, correspondent à un son de la langue.
→ Définition tirée du Larousse
#Langage de programmation : un langage de programmation est un système de notation le plus souvent textuel, destiné à l’écriture du code source de programmes informatiques. Comme les langues naturelles, chaque langage de programmation possède un alphabet, une sémantique, un vocabulaire et des règles syntaxiques spécifiques.
→ Définition tirée de Back Office
#Logographique : est un unique graphème notant un mot entier et non seulement une partie des phonèmes. Dans la majorité des cas, rien n’indique, dans un logogramme, comment il doit être prononcé (le signifiant en linguistique). En d’autres termes, c’est la plus petite unité significative du langage comme signe unique écrit qui représente un mot complet, indépendamment de la langue. Un logogramme notant un élément abstrait de la réalité (comme une notion, un morphème ou en lemme) est un idéogramme. Celui qui représente directement, en le dessinant, un élément concret de la réalité est un pictogramme.
→ Définition tirée de Wikipédia
#Média (Media) : le terme de
media désigne tout moyen de diffusion permettant la communication, de façon directe (langage, écriture, etc.) ou via un procédé technique (radio, télévision, web, etc., on parle alors de
mass medias). Selon le théoricien des médias Friedrich Kittler, « tous les media technique ont pour fonction soit d’enregistrer, soit de transmettre, soit de traiter des signaux ; […] l’ordinateur (en théorie depuis 1936, en pratique depuis la Seconde Guerre mondiale) est le seul médium qui combine ces trois fonctions. »
→ Définition tirée de Back Office
#Melting pot : il s’agit d’une métaphore employée pour désigner une société devenant homogène et universelle, les différents éléments fusionnant pour ne former qu’un seul et même ensemble harmonieux avec une culture commune.
→ Définition tirée de Wikipédia
#Morphing : le
morphing recouvre l’ensemble des techniques d’interpolation, automatisée ou non, qui transforment une forme en une autre (tracé, visage, etc.) de façon continue.
→ Définition tirée de Back Office
#Multilingue (plurilingue) : désigne un ensemble comprenant plus de deux langues.
#Multiple Master : Multiple Master est un extension du format de police de caractères Type 1 qui combine plusieurs versions de glyphes dites « maîtres » (masters), c’est-à-dire styles « originaux ». Ces fichiers permettent à l’utilisateur ou au dessinateur de caractères d’interpoler en continu ces styles via un ou plusieurs axes (graisse, proportions, corps optique, etc.). Un des premiers caractères utilisant cette technologie fut le
myriad (Robert Slimbach et Carol Twombly), conçu pour Apple en 1992. Multiple Master a été progressivement remplacé par les évolutions du format OpenType (1.8, police variable).
→ Définition tirée de Back Office
#Multi-scripte : désigne un ensemble comprenant plus d’un système d’écriture.
#Navigateur web : un navigateur web est un logiciel conçu pour accéder et afficher des pages du
World Wide Web. Le terme « navigateur » est inspiré de Netscape Navigateur, le navigateur phare apparu au milieu des années 1990. Les navigateurs web les plus utilisés à l’heure actuelle sont Google Chrome, Mozilla Firefox, Microsoft Edge et Apple Safari.
→ Définition tirée de Back Office
#Numérique : dans le contexte de l’informatique, le terme numérique, en anglais « digital », désigne un objet virtuel (texte, nombre, image, donnée, programme, etc.) encodé sous forme binaire, c’est-à-dire d’une suite de bits à l’état 0 ou 1. Plus généralement, ce terme qualifie l’ensemble des contenus ou activités liés à l’utilisation d’ordinateurs.
→ Définition tirée de Back Office
#OpenType : développé par Microsoft à partir de 1996, l’OpenType est un format de fichier décrivant des polices de caractères numériques qui vise à enrichir le format TrueType initié par Apple à la fin des années 1980. Il ajoute de nombreuses fonctionnalités, comme l’augmentation du nombre maximum de glyphes, le support des caractères non latins, le codage de ligature, etc.
→ Définition tirée de Back Office
#Page Web : une page web représente l’unité de consultation du web. Identifiée par une adresse web (URL) unique, elle est constituée d’un document dont le contenu est décrit en HTML pouvant associer une feuille de style CSS ou des scripts JavaScript. La première page web (Info Cern) fut mise en ligne le 20 décembre 1990 par l’informaticien Tim Berners-Lee et était hébergée sur sa station de travail NeXT.
→ Définition tirée de Back Office
#Programmation : la programmation informatique désigne l’ensemble des activités impliquées dans l’écriture des programmes numériques, c’est-à-dire la rédaction de codes source dans des langages de programmation spécifiques. Les codes sources des programmes sont ensuite compilés pour être convertis en langage machine (binaire) pouvant être exécutés par un ordinateur.
→ Définition tirée de Back Office
#Romanisation : emploie des caractères latins pour écrire (ou retranscrire) une langue utilisant un alphabet ou un système d’écriture différent.
→ Définition tirée de l’Internaute
#Sinogramme : idéogramme chinois.
#Standard : un standard désigne une norme industrielle. Dans le champ de l’informatique, les standards permettent d’obtenir une compatibilité accrue entre plusieurs programmes ou matériels. L’organisme de standardisation à but non lucratif le plus connu est le W3C (
World Wide Web Consortium), chargé depuis 1994, de promouvoir la compatibilité des technologies du web.
→ Définition tirée de Back Office
#Système d’écriture : un système d’écriture est un ensemble organisé et plus ou moins standardisé de signes d’écriture permettant la communication des idées. Il existe différents systèmes d’écriture, principalement, alphabétique, syllabique ou idéographique. Un système d’écriture peut retranscrire plusieurs langues. Exemple : l’alphabet latin permet d’écrire le français, l’anglais, l’allemand, l’espagnol, etc.
#(Système d’écriture) alphabétique (alphabet) : système d’écriture d’une trentaine de signes graphiques permettant par leurs différentes combinaisons de transcrire les sons d’une langue. Exemple : l’alphabet latin. Le mot « alphabet » vient de
alpha et
bêta, premières lettres de l’alphabet grec.
→ Définition tirée de L’Aventure des écritures
#(Système d’écriture) logographique (logogramme) : se dit d’une écriture dans laquelle chaque signe représentant un mot, un concept ou une idée (et non un son ou une syllabe).
→ Définition tirée de L’Aventure des écritures
#(Système d’écriture) syllabique (syllabaire) : se dit d’une écriture dans laquelle chaque signe représente une syllabe (par opposition à celles qui notent consonnes ou voyelles isolement), par exemple les
hiragana et les
katakana japonais.
→ Définition tirée de L’Aventure des écritures
#Traduction (typo)graphique : « la traduction (typo)graphique est un type de traduction qui me permet de désigner la transposition d’une typographie d’une langue dans un autre contexte linguistique. »
Définition tirée du mémoire de Bae So-Hyun (p.65)
#Translittération : transcription lettre par lettre, dans laquelle on fait correspondre à chaque signe d’un système d’écriture un signe dans un autre système.
Définition tirée du dictionnaire Le Robert
#TrueType : TrueType est un format de police de caractères numérique utilisant les courbes de Bézier pour la description de chaque glyphe ainsi que des algorithmes de
hinting destinés à en optimiser l’affichage à l’écran. Créé par Apple à la fin des années 1980 pour concurrencer les polices de Type 1 intégrées dans PostScript, il constitua une avancée importante par rapport aux polices matricielles (
bitmap) de l’époque.
→ Définition tirée de Back Office
#Web : le
World Wide Web (WWW, « toile [d’araignée] mondiale ») est un environnement de publication et de consultation à échelle mondiale, basé sur un système de liens hypertextes reliant des pages entre elles. Il a été développé à partir de 1989 par Tim Berners-Lee et Robert Cailliau au Cern (Organisation européenne pour la recherche nucléaire), près de Genève. Il est important de différencier Internet, qui désigne l'infrastructure matérielle et les protocoles de connexion entre serveurs (TCP / IP, DNS), du web qui utilise Internet pour la circulation des trois objets techniques qui le constituent : HTTP (
HyperText Transfer Protocol, [protocole de transfert de l’hypertexte] permettant le transit des données), URL ((
Uniform Resource Locator, [localisateur de ressources uniforme] pour la gestion des adresses web) et HTML (
HyperText Markup Language [langage de balisage hypertextuel] destiné à décrire le contenu des pages web). Sa consultation nécessite un logiciel capable d’interpréter le code HTML envoyé par les serveurs web appelé navigateur web. L’expression web 2.0 a émergé au milieu des années 2000 et caractérise la mutation des pratiques utilisateurs faisant suite au développement de plateformes basées sur leur comportement (Google AdSense) ou « sociales » sollicitant leurs contributions et interactions (Flickr, MySpace, Facebook, Twitter, etc.).
→ Définition tirée de Back Office
#Webfont : webfont (police web désigne un ensemble de formats de fichier de polices de caractères (Truetype, OpenType, Embedded OpenType, WOFF, SVG, etc.) destinées à être envoyées depuis un serveur distant puis affichées dans le navigateur client (via l’instruction CSS @font-face). Annoncé en septembre 2016, le nouveau format standard (
Variable Font permettra à terme de n’avoir qu’un seul fichier de police permettant, potentiellement, de générer une infinité de variantes (graisses, proportions, etc.).
→ Définition tirée de Back Office
#Web-safe : l’expression «
web-safe » désigne un ensemble de polices (notamment
arial,
times new roman,
georgia,
verdana,
courier) a priori installées sur chaque ordinateur personnel. Leur utilisation permet de garantir l’affichage correct des sites web, contrairement aux webfonts chargées à distance avec l’instruction CSS @font-face.
→ Définition tirée de Back Office